La Pulpeuse Nathalie : Va Se Faire Dépuceler Aujourd’Hui (Partie 2/9)

À la place du 2e Annie

Lorsque Manu lui avait dit qu’il ne voulait plus tenter de faire l’amour avec elle, Nathalie fut très triste, elle avait pleuré toute la soirée. Malgré son excitation de l’après-midi, elle n’était même pas parvenue à se masturber après que Manuel soit venu lui souhaiter bonne nuit. Il n’avait pas tenu parole, il ne l’avait plus touchée mis à part la petite bise sur la joue qu’il lui donnait avant de se coucher. S’il en fut très déçu, ce fut Nathalie la plus malheureuse lorsqu’elle apprit un mois plus tard que sa mère déménageait, elle quittait définitivement son compagnon. Manu ne l’avait pas dépucelée comme elle avait prévu mais ça ne saurait tarder, elle se sentait prête, enfin c’était ce qu’elle croyait.

Très vite, Nathalie comprit qu’elle était attirée par des hommes plus mûr que les garçons qu’elle connaissait au lycée. Elle avait quitté son petit ami. Lorsqu’elle connut Nicolas, c’était un lundi soir de mars, à la sortie du lycée, elle attendait, assise à l’abri de bus en lisant un roman. Lorsque Nicolas vint s’installer à côté d’elle. Il avait un plus de vingt-deux ans et était plutôt beau garçon : sportif. 1,78m pour 72 kg, il était large d’épaule, son corps était musclé et bien proportionné par rapport à la longueur de ses jambes. Il avait les cheveux châtains coupés courts, avec une petite banane style rockeur. Il avait le visage assez allongé, des sourcils épais sur des yeux profond d’un bleu intense. Son nez grec et sa bouche souriante lui donnaient une allure sympathique. Sa fossette au menton et sa barbe de trois jours lui donnait un air sérieux mais pas que. Son sourire dégageait une dentition parfaite. Son sac à dos posé sur une seule épaule, ses vêtements légèrement négligés et ses chaussures poussiéreuses, démontraient qu’il n’avait rien d’un étudiant.

Nathalie abandonna sa lecture pour l’observer du coin de l’œil, il fit de même. Elle s’aperçut qu’il n’osait pas l’aborder.

N’étant pas timide et voulant en savoir plus sur lui, elle engagea la première, la conversation :
— Vous rentrez du travail ? Vous semblez fatigué.
— Oui, je suis maçon chez Armand, je suis en chantier juste à côté.
— Ça ne doit pas être un métier facile ? Que faites-vous comme bâtiment ?
— Vous avez raison, c’est très fatigant. Nous construisons une extension au Lycée.
— Je suis dans ce lycée « René Descartes ». J’habite un peu plus haut sur le boulevard. Et vous ?
— Je rentre tout simplement chez moi.

L’autobus venait de se stationner, ils y étaient montés tous les deux. Elle n’hésita pas un seul instant à s’assoir à ses côtés. Comme elle descendait quelques arrêts plus loin, la discussion fut de courte durée. Elle aurait aimé que cette conversation se prolonge, mais elle était arrivée à destination. Elle lui dit en descendant :
— J’espère que l’on se reverra demain.
— Je quitte tous les soirs à la même heure. Je m’appelle Nicolas.
— Moi c’est Nathalie.

Tous les soirs de la semaine elle était impatiente de le voir. Elle passait un quart d’heure de bonheur. Au moment de le quitter, elle avait la boule au ventre. Le vendredi soir, elle prit la directive de lui proposer un rendez-vous :
— Nous pourrions nous revoir samedi après-midi au parc, si tu veux ?
— Je voulais te donner rendez-vous. Oui, j’y serai vers 14h00.

Cela faisait très longtemps que Nathalie n’avait pas ri autant. Nicolas avait de l’humour et avait toujours la répartie facile. Cet après-midi-là était passé tel un éclair dans un ciel orageux. Malheureusement, il était déjà l’heure de rentrer, il était 18h30 et sa mère, vu ses seize ans et demi lui imposait ces horaires.

Il lui proposa de l’accompagner jusqu’à son domicile. Elle le prit par la main, pendant le trajet du retour. Ils s’étaient embrassés pendant de longues minutes. Elle avait ressenti un désir intense, ce baiser la fit rêver.
Elle lui dit qu’il savait très bien embrasser.

Tous les soirs dans le bus, elle attendait ce baiser qui durait jusqu’à destination. Elle était enfin heureuse d’avoir trouvé un homme qui lui plaisait. Toute la journée, Elle pensait à lui, elle l’aimait, elle en rêvait. Ils s’entendaient très bien, pendant plusieurs semaines leur relation fut sérieuse, il ne voulait pas être trop entreprenant, ce n’était pas par manque d’audace, c’était surtout pour ne pas la brusquer. Elle se demandait « Mais quand allait-il lui faire l’amour ? » Depuis l’aventure ratée avec Manuel, l’ancien copain de sa mère Viviane, Nathalie appréhendait cette première relation sexuelle. Elle jugea que c’était le moment et décréta que Nicolas serait son premier amant. Elle devenait impatiente. Lui vivait dans un petit appartement dans une maison ancienne. C’était assez vieux, avec quelques fissures au plafond mais c’était entretenu et propre, pour un jeune célibataire. De ce dimanche, Nathalie s’en souviendra. Il faisait mauvais temps, Ils avaient passé l’après-midi, sur le canapé à regarder la télévision. Il avait quelques DVD qui lui plaisaient.

Elle avait posé sa tête sur son épaule, il avait son bras autour de son cou et sa main reposait sur son sein gauche, il était bien dodu et doux. Ils s’embrassaient souvent entre deux scènes, leurs langues se mêlaient, il aspirait ce petit morceau de viande rouge tout mouillé de salive délicatement, ils avaient une envie folle l’un comme l’autre, de faire l’amour. Mais aucun des deux ne prit l’initiative. Il attendait un petit signe de sa part, il avait deviné qu’elle était encore pucelle et il voulait qu’elle le dise, il devait donc être patient. Sa main descendait de temps en temps sur son ventre, jusqu’à sa ceinture mais il sentait lorsqu’il voulait descendre un peu plus bas, dans son jardin secret, une certaine réticence.

À la fin du film, il se leva et fit du café à la cuisine. L’heure tournait, Nathalie, sans l’avoir prévu à l’avance, décida qu’elle deviendrait une femme aujourd’hui même, elle voulait se faire dépuceler.
Elle se dirigea vers lui et alla le rejoindre en disant :
— Tu sais Nicolas, je suis encore vierge, je n’ai jamais couché avec un garçon. J’ai très envie de toi mais j’appréhende.

Malgré ses 22 ans, il n’avait connu que des filles faciles qu’il baisait à la va vite, il savait qu’une chose, c’était qu’elles aimaient toutes son gros sexe. Il trouvait Nathalie tellement belle et si fragile qu’il avait peur de tout gâcher, elle était encore bien jeune. Il n’avait pas l’intention de la perdre, ne savait pas comment s’y prendre, c’était le premier dépucelage pour lui.

Il devint beaucoup plus entreprenant, il lui enleva sensuellement son jean et son teeshirt, tout en la frôlant de ses mains, Nathalie ne resta pas inactive, elle fit de même pour son pantalon et sa chemise. Ils s’embrassaient en se donnant de grands coups de langues, ils s’excitaient de plus en plus, tout en se dirigeant vers la chambre. Elle s’allongea nue sur le lit de 140, mais il ne s’était pas couché, il se mis à genou à ses côtés.

Pendant de longues minutes, il la caressa avec ses mains puissantes, un peu rêches, il l’embrassait sur tout son corps en partant du cou en descendant sur sa forte poitrine, s’attardant sur les tétons en les aspirant, en les léchant puis en les mordillant légèrement. Il descendit encore plus bas sur le ventre, sa langue lui léchant le nombril, puis encore un peu plus bas. Elle appuyait les pieds sur le matelas afin de faire remonter son bassin, elle voulait que sa bouche descende encore.

Il vint donc placer son visage entre ses cuisses et sa bouche sur son sexe légèrement velu. Nathalie était en extase, elle mouillait d’excitation, elle ne voulait pas qu’il s’arrête, elle s’offrait entièrement à sa langue qui s’activait entre ses lèvres ouvertes et trempées par l’excitation. Elle lui maintint la tête de ses deux mains et le forçait ainsi à continuer, lorsqu’il lui aspira le clitoris, elle dit « C’est magique mon chéri ».
Elle était aux anges et il était en ébullition, sa verge était à son maximum, elle se dressait à l’horizontal, Nathalie n’en pouvait plus, elle jouit en gémissant, son corps s’était tendu et crispé :
— Oui ! C’est trop top… Ha !!!
Puis elle reprit ses esprits et lui dit sans timidité aucune :
— Viens mon amour, j’ai envie de toi maintenant.

C’était le moment, elle était prête, il se mis à genou entre ses cuisses qu’elle écartait en grand, les genoux pliés, elle fit les yeux ronds comme des billes, elle venait d’apercevoir ce qu’elle allait recevoir dans sa petite chatte et cela l’excita encore un peu plus, la tâche énorme sur le drap blanc prouvait qu’elle venait de prendre son orgasme :
— Attends mon chéri, je suis qu’une égoïste, viens dans ma bouche.
— Tu es sûre ? C’est super. Dit-il.

Sa belle verge entre les lèvres de sa jeune amie, Nicolas croyait rêver, elle savait y faire, ce ne devait pas être la première fois qu’elle faisait des fellations. De sa langue elle léchait le gland en tournant tout autour, de ses lèvres et de ses joues, elle aspirait, de la bouche, elle l’avalait, de ses mains derrière les fesses de son amant, elle le tirait à elle, le rapprochait au plus profond de sa gorge sans aucune gêne. Puis le ressortait quelques secondes, lui léchait sa hampe et recommençait, sa main caressait ses bourses les malaxant à la limite de la douleur :
— Arrête, je n’en peux plus, je vais éjaculer.
— Pas tout de suite, prends-moi maintenant, vite.

Il enfila son préservatif, il écarta les grandes lèvres de sa vulve humides par son état d’émulation et délicatement, il commença à la pénétrer. Il était allé doucement, son gland de gros diamètre était entré sans grande difficulté mais il fallait maintenant enfiler les autres centimètres de sa hampe veineuse. Il n’a pas eu à forcer, ce fut Nathalie par de petits coups de rein, qui vint à sa rencontre et progressivement s’empalait sur mon engin, elle se mordillait les lèvres.

Après plusieurs va et vient en douceur, il s’engagea le plus profondément possible et avant de vider ma semence, il enleva sa capote pour me déverser sur son pubis, le sperme coulait par de grandes saccades sur les poils pubiens, elle passa la main sur son mont de vénus pour ressentir le liquide chaud qui était sorti de son pénis. Il bandait encore, il s’était réengagé à l’intérieur, elle le serrait si fort que ses ongles pénétraient la peau de son dos puis hurla de plaisir en coulant de bonheur.
— Oh !!! Que c’est bon…Oui !!! Mon amour…

Il prit un plaisir immense d’être parvenu à la faire jouir. Elle n’avait ressenti aucune douleur particulière, ce qu’elle craignait. Elle avait aimé le voir ainsi, elle apprécia cet acte d’amour, mais elle avait adoré tous les préliminaires. Malgré le joint, elle savait qu’elle ne s’était pas libérée entièrement et que la prochaine fois, elle prendrait son plaisir plus tôt avec lui. Ils étaient restés allongés, enlacés pendant plus de vingt minutes sans parler en s’embrassant tendrement. Elle leva les yeux vers l’horloge du DVD, elle s’aperçut de l’heure tardive.
— Il faut que je rentre mon amour. C’était super. Je t’aime. Dit-elle
— J’espère que ce ne sera pas la dernière fois. Répondit-il.

Tous les soirs après la classe, elle prit l’habitude de venir chez lui pour faire l’amour, elle jouissait comme une folle à chaque fois, sans avoir besoin de prendre de cannabis ou autre drogue, elle était devenue dépendante de sexe et surtout de sa queue. N’étant pas timide, elle apprit très vite le bien fait des fellations pour les hommes et aujourd’hui, elle avalait la semence, elle adorait donner du plaisir à son amant de cette façon. C’était devenu son rituel, ça l’excitait autant que la langue et les doigts de son partenaire fouillant son intimité. Malheureusement, après un an de cette relation, Nicolas décéda à moto dans un accident de la route à l’âge de 23 ans.


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